Les potins Granvillais

La presse ancienne est une source qui abonde en renseignements pour ceux qui cherchent des indices, les auteurs , les généalogistes, les…
Elle nous apporte des informations sur les décès, les  mariages et naissances de nos ancêtres, mais aussi sur leurs comportements, leur travail, les commerces, la politique, les polémiques … Autant de potins qui donnaient de la vie à la cité…
Sur cette page, je vous partage mes trouvailles et leurs liens …

N’hésitez pas en m’envoyer les vôtres  >>> Nous informer

La Presse ancienne bas-normande (1786 1944)
En Basse-Normandie, l’histoire de la presse commence en 1786…à Caen, avec la parution du premier journal imprimé dans la région Affiches, annonces et avis divers de la Basse-Normandie. C’est à partir du règne de Napoléon 1er, que se multiplient ces feuilles principalement destinées à publier certains actes de justice et avis commerciaux. Chaque chef-lieu d’arrondissement bas-normand en est bientôt doté.

BNF presse locale ancienne Gallica :
https://presselocaleancienne.bnf.fr/cherche?mot=Granville
https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&startRecord=30&maximumRecords=15&page=3&query=%28gallica%20all%20%22presse%20granville%22%29#resultat-id-34
https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&collapsing=disabled&query=%28gallica%20all%20%22presse%20granville%22%29%20and%20arkPress%20all%20%22cb327804714_date%22&rk=729617;2

NORMANNIA le patrimoine écrit de Normandie https://www.normannia.info/ark%3A/86186/52f8g
Sauvegarde et valorisation de la presse en Basse-Normandie :

La Basse-Normandie conserve dans ses bibliothèques et services d’archives un riche patrimoine imprimé, en particulier des collections uniques de périodiques régionaux. La presse attire un nombre croissant de chercheurs et de particuliers qui explorent les titres afin de suivre les évolutions de la société, l’histoire locale ou pour compléter des recherches personnelles.
Les professionnels du livre et les pouvoirs publics conscients de la valeur documentaire des collections ont pris la mesure de leur fragilité. Dès 1980, la Direction du livre et de la lecture a inscrit le microfilmage de la presse locale au rang de ses actions prioritaires de sauvegarde. Dès 1987, la Région Basse-Normandie a accompagné ce plan de sauvegarde aujourd’hui assuré par le Centre Régional des Lettres de Basse-Normandie qui, depuis sa création en 1994, a poursuivi la mission de microfilmage avec le soutien de l’État et de la Région.
En 2008, un accord entre la Région Basse-Normandie, la Bibliothèque nationale de France et Ouest-France a permis la consultation en ligne des éditions bas-normandes d’Ouest-Éclair dans la bibliothèque numérique Normannia. En 2010, décision fut prise de numériser les microfilms afin de les adapter aux usages d’Internet. Un plan de numérisation de 2010 à 2014 a été financé par la Région Normandie et la BnF dans le cadre du pôle associé régional de Basse-Normandie afin de permettre la sauvegarde des originaux et l’accès aux internautes.
[*] Pour en savoir plus : Jean Quellien, Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944. L’Aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, CRL Basse-Normandie et Cahiers du Temps, Honfleur, 1998.

LES TITRES DES JOURNAUX

LE GRANVILLAIS
courrier de la côte, politique littéraire, maritime et commercial « "puis" organe de défense républicaine »
NOTES : Le sous-titre varie ; il disparaît totalement avec le numéro du 24 août 1940 (73e année, n° 3972)
Numérotation : 7 févr. 1869-2 juin 1944
Ville (siège du journal) : Granville
Période de parution : 1869-1944
Format : 54 x 36 puis 46 x 33 puis 63 x 48 cm
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Numérisé à médiathèque Charles de la Morandière
https://mediatheques.granville-terre-mer.fr/opac/catalog/search?specificField%5B%5D=edCollStr%3A%22Le+Granvillais+%3A+Courrier+de+la+c%C3%B4te.+Politique%2C+litt%C3%A9raire%2C+maritime+et+commercial+%5BS.n.%5D%22&specificField%5B%5D=typesdedocument_dyns%3A%22P%C3%A9riodique%22&specificField%5B%5D=fondspropre_dyns%3A%22Presse+num%C3%A9ris%C3%A9e%22&sort=sort_publishDate+asc&rows=60&nb_rows=60

LA PLAGE DE GRANVILLE
Organe des stations balnéaires de la côte. Cette feuille paraît le 1er et le 15 de chaque mois du 1er mai au 1er septembre
Numérotation : 7 mai 1883-7 sept. 1884
Ville (siège du journal) : Granville (impression : impr. à Vire, puis Paris)
Période de parution : 1883-1884
Format : 40 x 28 cm, puis 57 x 39 cm, puis 35,5 x 25 cm
Notes: Titre repris en 1901 par un journal quotidien d'annonces commerciales et touristiques ; Devient : La Côte normande  
La Côte normande
gazette des plages et villes d'eaux de la Normandie : littéraire, artistique, politique, sportive et mondaine
Numérotation : 2 août 1885 [I, n° 1]à[?...]
Ville (siège du journal) : Granville (impression : impr. à Paris)
Période de parution : 1885
Format : 36 x 25 cm
Fréquence de parution : Hebdomadaire
Notes:  Ne paraît que pendant la saison balnéaire ; devient la Gazette des plages et villes d'eaux de la Normandie
La Gazette de la plage normande
journal littéraire ["puis" journal] humoristique des bains de mer; paraît du 1er juin au 1er octobre
Numérotation : 3/10 juin 1886-à [?...]
Ville (siège du journal) : Granville
Période de parution : 1886-[1887 ?]
Format : 46 x 32/33 cm
Fréquence de parution : Hebdomadaire
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327804714/date1886
https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&collapsing=disabled&query=%28gallica%20all%20%22presse%20granville%22%29%20and%20arkPress%20all%20%22cb327804714_date%22&rk=729617;2

LE PHARE DE GRANVILLE
journal littéraire et commercial
Numérotation : 29 avr. 1884-[...]
Ville (siège du journal) : Granville (impression : impr. à Granville puis Avranches)
Période de parution : 1884-[1885 ?]
Format : 37 x 27 puis 40 x 29 cm
Fréquence de parution : Hebdomadaire
NOTES : N'a pas paru du 6 mai au 15 août 1885
https://presselocaleancienne.bnf.fr/ark:/12148/cb32839036t

L' AVRANCHIN
Parution : Paraît du 6 janvier 1856 au 28 janvier 1944
Périodicité : Hebdomadaire
Éditeur/imprimeur : Henri Tribouillard à Avranches
Diffusion : Avranchin, Granvillais
Numérisation : 6 janvier 1856 au 28 janvier 1944
Description matérielle : formats variables
L'Avranchin Éd. de Granville
journal d'Avranches
Ville (siège du journal) : Avranches
Période de parution : [1893 ?-1905 ?]
Format : 60 cm
Fréquence de parution : Hebdomadaire
LIENS Est une autre édition de : L'Avranchin
https://www.normannia.info/ark%3A/86186/52f8g

L'AVENIR REPUBLICAIN
Journal de Granville : pilote de la Manche. 1833 [?]-71e année, n° 44 (31 oct. 1903)
Devenu : "L'Avenir républicain : journal de Granville". 71e année, n° 45 (7 nov. 1903)-23 nov. 1940journal de Granville, Avranches et Coutances : paraissant le samedi Devenu : "Journal de Granville". 30 nov. 1940-1944 [?]
Numérotation : 71e année, n° 45 (7 nov. 1903)-108e année, n° 63 (23 nov. 1940)
Ville (siège du journal) : Granville
Période de parution : 1903-1940
Format : 64 x 45 puis 70 x 53 puis 62 x 41 cm
NOTES : Le sous-titre varie ;  Jusqu'au 23 déc. 1905 même texte que : "Le Coutançais" ;  Du 4 juil. 1907 à 1908 [?] une éd. spéciale a paru sous le titre de : "Journal de Granville et Avranches : organe républicain progressiste" ;  A comme autre édition : Journal de Granville et Avranches ; Suite de : Journal de Granville ;Devient : Journal de Granville (1940) ; Titre en liaison : Le Coutançais
https://presselocaleancienne.bnf.fr/ark:/12148/cb32708953v

LES GARS NORMANDS DE PARIS, DE LA DUCHÉ, DE PARTOUT :
JOURNAL HEBDOMADAIRE DE LA VIE NORMANDE, ILLUSTRÉ : TRADITIONS, ARTS POPULAIRES, INTÉRÊTS PRATIQUES
Parution : Paraît en 1907
Éditeur/imprimeur : inconnu à Paris
Diffusion : Calvados, Manche, Orne, Seine-Maritime, et Eure
Numérisation : du 1er juillet 1907 au 5 octobre 1907
Description matérielle : 56 cm puis 60 cm
Impression : imprimé à Argenteuil
Note(s) : Rédacteur Jehan Soudan de Pierrefitte à partir du 7 sept. 1907 ; secrétaire général Alexandre Guérin
https://presselocaleancienne.bnf.fr/ark:/12148/cb327797879
https://presselocaleancienne.bnf.fr/ark:/12148/cb327296154
https://presselocaleancienne.bnf.fr/ark:/12148/cb32779786z

L' Avranchin (N° du 17 septembre 1882) >>> LE VOL DU CASINO
Il y a longtemps que Le public honnête est scandalisé de voir la municipalité da Granville tenir une maison de jeu au Casino. Mais les administrateurs républicains ne sont pas accessibles à la honte. Pourtant, après l'éclat de dimanche dernier, il parait difficile qu'ils n'éprouvent pas quelque sentiment plus ou moins vague d'une désagréable confusion. Dans la nuit de samedi à dimanche, il était près d'une heure du matin, auprès de la table où se taillait un fiévreux baccarat, retentissent tout à coup ces mots : le mané, thécel, phares des tripots : « Ne pontez pas, on nous vole! adressés à un joueur par un assistant qui se bornait à observer. On voit d'ici le coup de théâtre. On entoure le révélateur qui s'explique et accuse formellement le croupier, l'homme de l'administration, et un étranger, habitué de la salle de jeu, M. D., dont ce croupier était complice. La preuve est bientôt faite par M. L. , l'auteur de la découverte, qui tire de la poche du croupier décontenancé et défaillant, des paquets de cartes comportant des banques toutes préparées et, décrochant un chapeau et un paletot d'où il tire également des paquets de cartes semblables, dit à M. D. : ces effets sont à vous ! Le grec méconnaît bien entendu la propriété du chapeau et du paletot, mais sans pouvoir dire où sont les siens. Tout le monde s'écrie que personne ne doit sortir avant l'arrivée de la police que l'on va quérir. Mais M. D. descend pourtant en demandant la permission d'aller satisfaire un besoin pressant et protestant qu'il ne veut pas s'éloigner. On le surveille de l'escalier, on le voit sortir sans se hâter du lieu retiré où il était entré un instant, on l'invite à remonter attendre le commissaire. — Le commissaire, dit-il, parbleu ! je vais le chercher moi-même !  Et d'un bond il s'élance dehors. Quelques personnes se mettent à sa poursuite, mais il détale avec une agilité qui à bientôt distancé les moins ingambes. Un jeune homme pourtant, plus alerte que les autres, est encore sur ses talons, il va le joindre et la saisir. Alors, seul avec lui, dans la nuit, sur la falaise déserte, notre escroc tire de sa poche un revolver qui arrête ce dernier poursuivant, et disparaît dans les ténèbres. Le croupier a été amené lundi en prison à Avranches où l'affaire s'instruit. Quand à son complice, le sieur D., qui s'est enfui nu-tête et emportant une somme considérable qu'il avait toujours sur lui à tout événement, il n'avait pu encore être attrapé à l'heure où nous mettons sous presse. II a été vu dimanche à quatre heures du matin à la gare de Saint-Planchers et remarqué à son absence de coiffure. On jouait gros jeu au tripot municipal ; des sommes importantes y ont été perdues et l'on estime que le grée en question, dont le bonheur insolent avait été remarqué, y a raflé entre cinquante et cent mille francs. lisez la suite ici>> Avranchin LE PROCES 1891

 

L' Avranchin, numéro du 01 mai 1881  >>PDF
Article de la SOCIÉTÉ D'ARCHÉOLOGIE de Littérature, Sciences et Arts d'Avranches et de Mortain.
Président, M. LE HERICHER, M. BÉGUIN faisant les fonctions de Secrétaire, en l'absence de MM. CRÉANCES et DE CHABANNES.
Séance du 17 Février 1881. (Suite et fin)
Gustave Bouvattier lit ensuite plusieurs rapports que M. le Président, à la séance de janvier, l'avait prié de faire :

1° Sur La peine de mort devant l'Eglise et L’évangile…
2° Sur un numéro de la Revue moderne et naturaliste…
3° Sur des Documents inédits sur Philippe de Communes par M. Fierville…
4° Sur l’abbé Le Petit, par M. E. de Beaurepaire…
5° Sur Bourgueville de Bras, par M. Le Rebours-Pigeonnière, avocat-général à Caen …
6° Sur les Cachets d'oculistes, de M. Thédenat...

Adam professeur au collège d'Avranches, lit un rapport sur les Chroniques du vieux Granville par M. j. Méniger. Faisant quelques réserves sur l'intérêt qu'offre au commun des lecteurs les travaux archéologiques, il reconnaît que cette prévention disparaît devant «  la forme attrayante et originale que l’auteur donne à ses récits; Il possède à un haut degré le talent du conteur et son style, par son naturel et sa vivacité, offre, comme l'a fait remarquer M. le Président, plus d'un point de contact avec celui d'Erckmann-Chatrian. »
Le rapporteur signale, à ce point de vue, l'histoire d'un grain de poudre sur le nez de ma grand-mère souvenir du siège de Granville.
« Personne, dit-il, ne connaît mieux Granville que M. Méniger . On sent qu'il a grimpé sur les falaises abruptes du Roc, et que, comme il l'avoue d'ailleurs, il a fait plus d'une fois, à l'âge où Fou est sans pitié, la chasse aux nids dans les dunes et les falaises. En sa qualité de Granvillais, M. Méniger est un marin consommé. Aussi, aucun danger à craindre lorsque nous nous embarquons à son bord pour aller visiter les îles anglo-normandes ou faire une partie de pêche au chalut »Adam termine par un dicton qui avait cours alors que Granville n'était qu'un petit bourg, ce qui compromet beaucoup l’étymologie très contestable de son nom de «grandis villa»

« Grand ville, grand villain ,
Quatre maisons et un moulin,
Une sentinelle qui tremble :
Voilà Granville tout ensemble. »

Mais Granville n'a pas toujours tremblé; il l'a prouvé par cette belle défense contre les Vendéens qui lui a mérité de s'appeler  « Granville-la-Victoire. » M. de Scelles, lieutenant d'infanterie, envoie de Privas une belle pièce de poésie qu'on peut intituler : « Le Pays natal ». On y remarque deux passages, l'un sur un de nos plus beaux paysages, et l'autre qui exprime une forte pensée philosophique.

« Et mes amis d'hier, par le monde envolés,
Et nos courses sans fin, à travers les galets
Des grandes grèves de Corolles,
Et nos rudes pêcheurs, ces fils des vieux Normands,
Qui dans leurs bateaux plats vainqueurs des éléments,
Ont une étoile pour boussole.
C'est qu'à l'être ici-bas, comme à hébreu maudit,
Le sort dit: en avant! c'est qu'il est entendu,
A toute humaine créature,
D'arrêter pour toujours sa course vers les cieux,
Et que l'homme est utile et peut être précieux
Pour la marche de la nature. >

JACQUES MENIGER,1844/1899 Auteur de :
Chroniques du vieux Granville et ses environs –depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours
1ère édition  1882 PARIS, Gustave. Guérin éditeur
1882 - 2ème édition - In-12 - Broché,530 pages -lien vers site

Retrouvez sa réédition>>> lien vers site

Chroniques du vieux Granville et ses environs –
depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours
de Jacques Méniger | 22 mai 2008
Première édition : 1881
Extrait du quatrième de couverture : En choisissant des chroniques mettant en scène des personnages fictifs pour évoquer les faits authentiques qui font l'histoire de Granville, Jacques Méniger adopte un ton résolument convivial et vivant. Il présente tous les aspects de la cité, à partir du dialogue de deux amis, de la conversation d'un vieillard qui raconte ses souvenirs, ou en exposant ses propres convictions, à la manière d'une tribune. Les faits les plus reculés, comme la marée de 709, sont exposés comme si le narrateur assistait ou avait assisté aux événements, tenant en haleine le lecteur, dans un style qui n'a rien à envier à celui de nos plus grands écrivains. « L'aquilon soufflant contre l'ouragan venant de terre, rendait le vacarme plus effrayant encore ! La mer toujours s'avançait, rejetant tous les obstacles ; enfin se dressa une barrière, une digue, adversaire digne d'elle ! La Roque de Granville présenta à la lutte ses robustes flancs de schiste et de quartz. Le combat fut inouï ! » Le personnage de Georges-René Pléville-Lepelley, que l'on retrouve à différentes étapes de sa vie, au fil des pages, a une vraie dimension romanesque. Il s'échappe, à douze ans, du collège de Coutances et s'embarque comme mousse à Saint-Malo. Il est nommé lieutenant à dix-huit ans, sur un corsaire et perd sa jambe droite lors d'un combat à la sortie du port de Granville. Deux ans plus tard, un boulet arrache sa jambe de bois. « Le boulet s'est trompé, s'était écrié l'intrépide Pléville, c'est de l'ouvrage pour le charpentier ! » Au-delà de cette anecdote, il mena une vie qui ne fut qu'une suite de... © Micberth  Référence : 2731 Date édition : 2008  ISBN : 978-2-7586-0183-8
Format : 14 X 20 Nombre de pages : 542 Reliure : br.   Prix: 62.88€

il publia aussi dans LE BOUAIS JAN une série de chroniques intitulée Le dialecte normand, en 1898 (7 articles) et en 1899 (2 articles).

LE BOUAIS-JAN ;  Revue publiant des textes en patois, des poésies, des récits, des chansons, des contes, des illustrations. Revue créée en 1896 par Louis Beuve et François Esnault ,  bimensuelle paraissant le 8 et le 23 de chaque mois. 19x28 cm. Titre ayant "comme symbole cet arbrisseau rustique, vigoureux, rébarbatif, mais pourtant si joli et si audacieux...qui montre...ses fleurs jaunes à l'odeur suave et discrète, semblables à des papillons d'or, parfumés et musqués comme de petits marquis…(discours 6° banquet 1902) Dans chaque numéro apparaissent: la Chronique de la Société, les Echos du Pays ...De nombreux Normands de Paris ont collaboré à cette revue . illustré par François Esnault chaque numéro se présente sous forme de cahier de 16 pages, en 1ère page un sommaire. lien vers revue